Intertas 21.03.23 : Leader dans le domaine de la cartographie et expert en gestion de la donnée patrimoniale, le Groupe Parera, 38 M€ de chiffre d’affaires et 750 collaborateurs, poursuit son développement avec le rachat de la société rhodanienne Ecartip, spécialisée dans la réalisation d’études topographiques et dans l’acquisition et le traitement de données géographiques.La société Ecartip, fondée initialement en 1997, est implantée en région lyonnaise. Elle accompagne les acteurs de l’aménagement du territoire dans leurs projets de grandes infrastructures linéaires routières, ferroviaires et aériennes. Forte de 6 implantations dans l’Hexagone, à Amiens (80), Bordeaux (33), Cesson (77), Reims (51), Vaulx-en-Velin (69) et Vedène (84), Ecartip développe un chiffre d’affaires annuel de 4 M€ et emploie 46 salariés. Suite à ce rachat, le Groupe Parera maintient sa confiance auprès de l’équipe managériale actuelle ainsi qu’à l’ensemble du personnel.
Intertas 15.03.23 : Le groupe Parera, spécialiste de la cartographie en France et à l’étranger, a testé dans la commune de l’Isle-Jourdain (Gers) où se situe le siège du groupe, la solution Metamaps 3D. Le véhicule est équipé d’un LiDAR sur le toit, permettant de relever un million de points à la seconde en aérien, avec une précision au centimétrique. À l’arrière, un géoradar relève tout ce qui est présent en sous-sol en trois ou deux dimensions.Ce système polyvalent de collecte embarqué récupère ainsi l’ensemble des données relatives à la voirie et aux différents réseaux souterrains, qui seront ensuite traitées et modélisées avant d’être mises à disposition sur une plateforme de consultation, pour être exploitées en 2D ou 3D selon les besoins spécifiques de chacun. Les opérateurs peuvent récupérer des données, qui seront les mêmes pour tous au format et au niveau de précision souhaités, en commandant ce dont ils ont besoin, pour un prix quatre fois moins élevé que ce qu’ils auraient payé auparavant, et beaucoup plus rapidement. Leur caméras peuvent aussi analyser le sol pour savoir où et quand refaire la route, savoir s’il y a des déperditions de chaleurs ou analyser la qualité de l’air en un seul passage. Ils effectuerons des mises à jour régulières pour garantir la fiabilité des données.
Intertas 14.03.23 : Le raccordement des infrastructures de recharge des véhicules électriques et des nouveaux parcs solaires et éoliens au réseau de distribution d'électricité nécessitera un niveau élevé d'investissements de plus de 5 milliards d'euros par an d'ici 2032, a annoncé Enedis.Cette envolée est d'abord due aux demandes croissantes de raccordements de nouvelles installations au réseau basse et moyenne tension attendues dans les années à venir. Fin 2021, Enedis dénombrait 0,8 million de bornes de recharges raccordées à son réseau, 16 GW d'éoliennes et 12 GW de solaire. Dans 10 ans, la filiale d'EDF qui utilise les prévisions de la programmation pluriannuelle de l'énergie établie par le Parlement table sur 13 millions de bornes de recharges, 28 GW d'éoliennes et 42 GW de solaire. Ce plan évoluera selon la prochaine feuille de route énergétique que le gouvernement doit faire voter prochainement dans la loi de programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour 2024-2033, mais Enedis a préféré ne pas attendre pour envoyer un message à ses partenaires industriels.
Intertas 14.03.23 : InfraNum, regroupant les industriels des infrastructures numériques en France, et l’AVICCA, association des collectivités engagées dans le numérique, soulèvent depuis un an l’urgence de relever les grands défis de «l’après plan France Très Haut Débit». Devant le peu d’avancées concrètes enregistrées à ce jour sur ce sujet, ils formulent conjointement une invitation formelle du Gouvernement à la présentation d’une nouvelle ambition au travers d’un «Good Deal du Fixe».Ce plan associé à des solutions concrètes est destiné à répondre aux enjeux de complétude des réseaux, de résilience et d’équilibre économique sur le long terme des réseaux d’initiative publique. Cette ambition, garante de l’équité numérique des citoyens en tous points du territoire et de la pérennité des infrastructures numériques en France, sera présentée symboliquement au Sénat le Mardi 14 mars 2023.
Intertas 10.03.23 : Du nouveau sur le label canalisateur : Depuis le début 2023, les 4 niveaux du Label Canalisateur : Bronze, Argent, Or, Platine sont remplacés par 3 niveaux : Engagé, Performant, Excellent. Depuis avril 2022 : Un QR Code, situé en haut à droite de la carte professionnelle TP, intitulé Compétences et Engagements de l'entreprise, permet d’accéder aux informations relatives au label canalisateur, à savoir : le ou les labels obtenus par l’Entreprise, et tous ses centres, avec leurs adresses et coordonnées téléphoniques - la ou les spécialités obtenues, ainsi que leur niveau - la fin de validité des labels obtenus. Depuis le début 2023 : De nouveaux niveaux et une nouvelle notation : • Les 4 niveaux du Label Canalisateur : Bronze, Argent, Or, Platine sont remplacés par 3 niveaux : Engagé, Performant, Excellent. • Afin de valoriser la qualité, en dessous de 11 : le label ne sera pas attribué, de 11 à 15 : le niveau sera engagé ; de 15 à 18 : le niveau sera Performant ; de 18 à 20 : le niveau sera Excellent. • Le Parcours RSE de la FNTP est valorisé dans le questionnaire QSE ; comme toutes les démarches en matière de développement durable (à condition qu’elles soient dûment justifiées). Bien entendu, les entreprises ayant déjà obtenu le Label le conservent pendant une durée de 3 ans ; avec la possibilité, si elles le souhaitent, de représenter un dossier avant l’échéance. Pour toute question, vous pouvez contacter Nathalie Gaudion au 01 45 63 91 31 ou à nathalie.gaudion@canalisateurs.comSite web des Canalisateurs
Intertas 07.03.23 : La société d'ingénierie Eolise basée à Poitiers, spécialisée dans les projets éoliens et photovoltaïques a déposé auprès du Conseil d'Etat un recours contre l'Etat pour son "refus" d'accélérer concrètement le développement des énergies renouvelables. Eolise, avait adressé en octobre au gouvernement une demande listant des mesures réglementaires jugées nécessaires notamment pour accélérer les procédures d'autorisation des projets, aujourd'hui lentes et complexes. Le recours, déposé en février, demande au Conseil d'Etat d'"annuler le refus implicite opposé à la demande" et d'enjoindre à l'Etat de prendre "toutes les mesures utiles" pour développer les énergies renouvelables, a expliqué à l'AFP l'avocat du bureau d'étude. La Première ministre et la ministre de la Transition énergétique ont accusé réception (de la demande adressée en octobre), mais n'y ont pas répondu. Nous demandons au Conseil d'Etat d'examiner ce refus de prendre des mesures réglementaires", a-t-il précisé. Eolise propose 10 mesures, parmi lesquelles la communication obligatoire de la cartographie des zones favorables à l'éolien, la sensibilisation du public ou la limitation de la portée de certains référés-supension qui freinent localement certains projets, via l'imposition de "l'urgence climatique" ou "énergétique" pour accélérer les projets. Cliquez-ici pour lire la suite sur le Web d'Eolise
Intertas 06.03.23 : Création d’une ligne électrique à 400 000 volts entre Amiens et Petit-Caux. Le projet présenté par RTE consiste à renforcer l’axe électrique 400 000 volts Normandie – Hauts-de-France entre le poste électrique d’Argœuves (Somme – 80) et le futur poste de Navarre (Seine-Maritime – 76) par la création d’une ligne électrique aérienne d’environ 80 kilomètres. Ce projet s’inscrit au cœur de la transition énergétique pour répondre aux objectifs de neutralité carbone fixés par la France et l’Union européenne. Cinq propositions de parcours ont été soumises. La décision finale relèvera des préfets de la Somme et de Seine-Maritime, en mai prochain. La ligne, quant à elle, devrait être mise sous tension en 2033.Dans la vallée de la Bresle, les habitants s'inquiètent de l'installation de cette ligne à très haute tension. Ils redoutent des conséquences esthétiques, environnementales et économiques.Cliquez-ici pour en savoir plus sur le projet
Intertas 06.03.23 : Le guide pratique «Travaux à proximité des réseaux», réalisé par la FFB, la FNTP, l’OPPBTP et la Sgam BTP, a été actualisé fin 2022. Il permet d’appréhender les dernières évolutions législatives et réglementaires liées à la réglementation anti-endommagement.Le guide « Travaux à proximité des réseaux » explique les rôles et missions des responsables de projet, des exploitants de réseaux et des exécutants de travaux, lors de travaux à proximité des réseaux. Réalisé et mis à jour par la FFB, la FNTP, l’OPPBTP et la Société de groupe d'assurance mutuelle (Sgam) BTP, ce guide accompagne chacun des acteurs afin de leur permettre de mieux appréhender le contenu de la réglementation en vigueur. Cette réglementation dite anti-endommagement a pour objectif de supprimer les dommages constatés lors des travaux effectués au voisinage des 4,5 millions de km de réseaux aériens et souterrains de France. On déplorait, en 2019, encore plus 19 000 dommages (soit 64 par jour ouvrable). Consulter le guide sur le site smabtp.fr.
Intertas 03.03.23 : La commission d’enquête sur l’interconnexion "Golfe de Gascogne" entre la France et l’Espagne, valide globalement le tracé proposé par RTE sur la boucle souterraine de 27 km dans les Landes.Longue d’environ 400 km au total, l’interconnexion "Golfe de Gascogne" sera essentiellement sous-marine, avec deux passages sous-terre, dont celui des Landes. Elle reliera le poste électrique de Cubnezais (près de Bordeaux) et celui de Gatika (près de Bilbao). Le tracé proposé aujourd’hui par RTE est celui qui présente le moindre impact pour la population locale tout en préservant l’environnement. La ligne électrique restera 100% souterraine. Le tracé s’appuiera sur des infrastructures routières, des pistes forestières existantes et des zones agricoles. De même il est pensé pour réduire au maximum les désagréments durant les travaux.Pour rappel, ce projet d’interconnexion (Inelfe) permettra de doubler les échanges d’électricité entre la France et l’Espagne, passant de 2800 à 5000 MW. A terme, ce sont près de 5 millions de foyers qui pourront être alimentés via les lignes transfrontalières. Face au défi de la transition énergétique, l’objectif est simple : profiter de la complémentarité des réseaux électriques français et espagnols pour offrir à tous une électricité plus sûre, abordable et durable. Cliquez-ici pour en savoir plus sur le projet
Intertas 01.03.23 :La région Sud-Provence-Alpes-Côte d’Azur lance une expérimentation pour la réutilisation des eaux usées, en partenariat avec la Société du canal de Provence, Aix-Marseille Université et la chambre régionale d’agriculture.Au niveau national français, la réutilisation des eaux usées (REUSE) reste très peu utilisée contrairement à de nombreux pays tels qu’Israël ou l’Espagne, qui arrivent à réutiliser respectivement 80% et 25% de leurs eaux usées. Face à ce constat et pour lutter contre la sécheresse, la Région Sud lancera en 2023 une expérience régionale pour la réutilisation des eaux usées traitées. Concrètement, l’eau qui sera réutilisée dans cette expérimentation sera issue des stations d’épuration du territoire. Elle sera épurée à un niveau suffisant pour permettre de nouveaux usages comme : • L’irrigation agricole, • La réutilisation dans le petit cycle de l’eau industrielle (au sein d’un process industriel), • Les usages urbains (nettoyage de rue, aires de carénage dans un port, espaces verts, …), • Les usages environnementaux (réalimentation de nappes), • Les usages alpins (neige artificielle)
Intertas 01.03.23 :Le Département de l’Hérault a voté il y a quelques jours une enveloppe de 15,2 millions d’euros pour boucler avant la fin de l’année le raccordement de l’ensemble du territoire héraultais à la fibre optique.2023 marque la fin d’un chantier colossal lancé en 2017 par le Département de l’Hérault de raccorder l’ensemble du territoire héraultais à la fibre optique. Dans les zones les plus densément peuplées (56 communes issues des agglomérations biterroise, montpelliéraine et sétoise) ce sont les opérateurs privés (Orange, SFR) qui se sont attelés à déployer le très haut débit; le Département, par l’entremise d’une délégation de service public (à l’entité Hérault Très Haut Débit, créée pour l’occasion), s’est occupé des 286 communes restantes. L’entité Hérault Très Haut Débit a atteint ses objectifs, et ce, malgré des contraintes exceptionnelles (Covid, pénurie des matières premières), tant est si bien que certains hameaux de l’Hérault seront raccordés avant certaines agglomérations couvertes par le privé explique Kléber Mesquida, président du Département de l’Hérault.
Intertas 28.02.23 :Le scénario de planification écologique proposé par le Conseil d’orientation des infrastructures (COI) et retenu par le gouvernement, nous donnerait les moyens de nos ambitions, se réjouit Philippe Bernard président du syndicat des entreprises de travaux ferroviaires SETVF.C'est à l l’occasion de la remise officielle du rapport du Conseil d’orientation des infrastructures, Élisabeth Borne a présenté la feuille de route du gouvernement en matière d’investissements en mettant l’accent sur le ferroviaire, en matière de régénération du réseau, d’harmonisation avec les systèmes européens et de développement de réseaux express métropolitains. Télécharger :Le rapport de synthèse : stratégie 2023-2042 et propositions de programmation -Lerapport annexe : compléments sur les programmes et revue des projets
Intertas 28.02.23 : Actemium, la marque de VINCI Energies dédiée au process industriel, conclut un accord de coopération technologique et commercial avec la startup française Energo. Cet accord vise à développer à l’échelle industrielle une technologie innovante de méthanation, au service de la décarbonation de l’industrie.Le processus repose sur un réacteur catalytique à plasma froid, qui permet, grâce à du CO2 capté sur site et associé à de l’hydrogène, de produire du méthane cinquante fois plus vite qu’un catalyseur classique. En juillet 2022, Energo a franchi une première étape en étant la première entreprise française à injecter du méthane de synthèse dans le réseau national GRDF, depuis son démonstrateur pilote installé en Picardie, en collaboration avec le LabCrigen d’ENGIE. Aujourd’hui, pour aller plus loin et développer un démonstrateur à plus grande échelle répondant aux exigences de l’industrie, Energo va s’appuyer sur Actemium. En s’associant à cette startup innovante, Actemium participe à structurer la filière industrielle de l’hydrogène français, par le développement de nouvelles solutions de décarbonation pour l’industrie
Intertas 27.02.23 : (Communiqué) Le chiffre d’affaires consolidé de l’exercice 2022 de COLAS s’élève à 15,5 milliards d’euros, en hausse de 17% par rapport à l’exercice 2021 (+ 9% à périmètre et change constants). Le chiffre d'affaires ressort à 6,2 milliards d’euros en France (+ 3% sur un an) et 9,3 milliards d’euros à l’international (+14% à périmètre et change constants).Le carnet de commandes à fin décembre 2022 s’élève à 11,7 milliards d’euros, en hausse de 9% sur un an (+7% à change constant et hors principales acquisitions et cessions). Le carnet en France métropolitaine (3,1 milliards d'euros) progresse de 3% sur un an, notamment sur l’activité routière avec une hausse de 5%. Le carnet à l’international et Outre-mer (8,6 milliards d'euros) est en hausse de 12% sur un an (+9% à change constant et hors principales acquisitions et cessions). L’année 2022 a été marquée par la signature d’importants contrats par Colas Rail tels que l’extension du tramway de Birmingham pour 192 M€, la construction de la première phase de la ligne 4 du métro du Caire pour 159 M€ ou la prolongation pour 5 ans du contrat d’alliance avec Network Rail pour le renouvellement et la modernisation de l’infrastructure ferroviaire dans le sud de l’Angleterre pour 540 M€. Cliquez-ici pour lire le communiqué
Intertas 25.02.23 :Le département du Rhône cède son réseau de communication EPARI, l’Établissement public pour les autoroutes rhodaniennes de l’information, à l’opérateur d’infrastructures très haut débit Infra-Corp pour 46 millions d’euros.Cette acquisition permet à l’opérateur Infra-Corp, jusqu’alors principalement implanté en Île-de-France, de porter à plus de 14 000 kilomètres la totalité de ses réseaux, avec un marché adressable de plus de 72 300 sites publics et privés. Infra-Corp assurera l’exploitation du réseau, à compter du 23 octobre prochain, au terme de la procédure de transfert. Cette acquisition, financée par les actionnaires Quaero Capital et CEH (Clean Energies Holding), s’inscrit dans la stratégie de croissance du groupe Infra-Corp au sein des zones économiques les plus dynamiques en France.Infra-Corp est un industriel des réseaux, spécialiste de la conception, de la construction, de l’exploitation et de la commercialisation de réseaux de télécommunication à Très Haut Débit, détenus en propre ou à travers des délégations de services publics. Infra-Corp a par ailleurs su diversifier son activité et ses marchés, en se positionnant également dans le déploiement de réseaux d’énergies et de chauffage urbain.
Intertas 25.02.23 : Le spécialiste francilien des infrastructures télécoms Ensio se lance pour la première fois à l'international. Il annonce, l'acquisition d'une participation majoritaire de son concurrent allemand Deutsche Netzbau GmbH.Le déploiement du réseau de fibre optique en France touche bientôt à sa fin, alors pour compenser cette baisse à venir des commandes, le spécialiste francilien des infrastructures télécoms Ensio se lance pour la première fois à l'international. Depuis 25 ans, Ensio répond aux besoins croissants en matière de construction, d’exploitation et de maintenance des réseaux numériques et d’énergie. Son bureau d’études intégré et ses équipes techniques lui permettent de proposer à ses clients une offre clé en main, innovante et sur-mesure. Créée en 1976 sous le nom de Sade Telecom, l'ancienne filiale de Veolia a pris son indépendance en 2020 par un rachat conjoint de l'équipe dirigeante et du fonds Montefiore Investment. Depuis, la société située à Clamart (Hauts-de-Seine) et qui a changé de nom en début d'année est en pleine croissance. Ensio a réalisé 450 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2022, contre 390 millions en 2021
Intertas
24.02.23 :
A
l’occasion
de
la
mise
en
consultation
publique
par
l’ARCEP
de
son
projet
d’évolution
de
la
régulation
pour
2024-2028,
InfraNum
- la
fédération
des
industriels
partenaires
des
territoires
connectés,
l’AOTA
-
association
des
opérateurs
télécoms
alternatifs,
le
CDRT
-
club
des
dirigeants
télécoms
et
réseaux
et
l’EBEN
-
fédération
des
entreprises
du
bureau
et
du
numérique,
s’unissent
et
appellent
le
régulateur
à
saisir
l’opportunité
de
la
fin
de
cuivre
pour
adopter
une
nouvelle
régulation
résolument
pro-concurrence
et
pro-innovation.
Si
le
plan
France
très
haut
débit
permet
à la
France
de
caracoler
en
tête
de
la
connectivité
des
pays
européens,
les
entreprises
françaises,
en
particulier
les
TPE
et
PME,
restent
peu
numérisées
et
doivent
faire
l’objet
d’une
attention
particulière
dans
un
contexte
de
fermeture
du
réseau
cuivre
historique.
Dans
un
courrier
commun
adressé
à la
présidente
de
l’ARCEP
Laure
de
La
Raudière,
les
associations
déplorent,
malgré
les
déclarations
volontaristes
des
dernières
années,
un
marché
qui
reste
faiblement
concurrentiel :
les
opérateurs
alternatifs
sont
dans
l’impossibilité
d’exploiter
tout
leur
potentiel
d’innovation
et
de
servir
toutes
les
entreprises
dans
les
territoires.
Pour
la
première
fois
ensemble,
les
quatre
associations
analyseront
dans
les
semaines
qui
viennent
les
propositions
de
l’ARCEP.
Une
nouvelle
régulation
du
marché
entreprise
des
télécoms
est
aujourd’hui
nécessaire
pour
permettre
aux
opérateurs
de
proximité
d’accéder
à
tous
les
locaux
entreprises.
Convaincus
que
la
transition
numérique
des
entreprises
passera
par
une
approche
avant
tout
locale
et
pragmatique,
les
signataires
appellent
le
régulateur
à
prendre
des
actions
fortes.
Consultez
le
courrier
des
4
associations
à
Laure
de
la
Raudière,
présidente
de
l’ARCEP
Intertas
23.02.23 :C’est
le groupe
Degrémont,
filiale de
Suez, qui a
décroché le
marché
(Devant son
concurrent,
le groupe
Veolia)
pour
construire
une nouvelle
station
d’épuration
à l’ouest de
Nice. Coût
total : 540
millions
d'euros
Les travaux
de la
nouvelle
station
d'épuration
Haliotis à
Nice
démarrera en
2024 pour
s'achever en
2030.
Le maire de
Nice,
Christian
Estrosi,
souhaite un
futur
complexe
exemplaire
en matière
de
transition
écologique
qui
"améliore la
qualité des
rejets et
limite les
débordements
en milieu
naturel.
La métropole
promet un
traitement
de l'air
dernière
génération
pour n'avoir
aucune
odeur.
Haliotis
sera aussi
écologique
avec une
production
énergétique
par panneaux
solaires.
Intertas
23.02.23 : Pour 2023, le
montant du
programme
d'investissement
de RTE s'élève à
1,88 milliard
d'euros, soit
une hausse de
près de 10% par
rapport au
montant réalisé
en 2022 qui
avait lui-même
progressé de 10%.Depuis la naissance de RTE en 2005, jamais un tel niveau d'investissement n'avait été atteint, a assuré à l'AFP Laurent Martel, directeur général du pôle finance du groupe. Nous prévoyons de dépasser deux milliards d'euros d'investissement en 2024, et de dépasser 4 milliards en 2028-2029. Le programme d’investissements de RTE pour l’année 2023 prévoit en particulier 448 M€ pour le renforcement et la création d’infrastructures permettant l’accueil de nouvelles installations de production et de consommation d’électricité, 486 M€ pour le renouvellement du réseau existant de RTE, 292 M€ pour le raccordement de parcs éoliens en mer de Saint-Brieuc et Fécamp et 110 M€ pour le développement de nouvelles interconnexions avec les pays voisins.
Intertas
20.02.23 :
L’Observatoire
Régional
DT-DICT
Normandie
lance sa
1ère
campagne de
visites de
chantiers
pédagogiques
« Les
Semaines
Régionales
de la
Prévention
», du 13
mars au 14
avril 2023 !
Pour rappel,
l’Observatoire
Régional
DT-DICT
Normandie
est
l’instance
régionale de
concertation
qui réunit
les
différents
acteurs de
la
réglementation
anti-endommagement
des réseaux
(maîtrise
d’ouvrage,
responsables
de projets,
exécutants
de travaux,
exploitants
de réseaux,
DREAL
Normandie).
Son rôle est
de favoriser
les échanges
entre les
différentes
parties
prenantes et
de
promouvoir
les bonnes
pratiques
afin de
réduire le
nombre
d’endommagements
des réseaux,
encore trop
nombreux sur
le
territoire
normand.
Convaincu
que la
sécurité des
chantiers TP
est
l’affaire de
tous,
l’Observatoire
régional
s’engage en
faveur de la
prévention,
en menant
une action
forte : Les
Semaines
Régionales
de la
Prévention.
Concrètement,
cette
opération
consiste,
pour les
entreprises
de travaux,
responsables
de projets,
exploitants
de réseaux,
collectivités
locales
volontaires,
à réaliser
durant 5
semaines des
visites de
leurs
chantiers
sous l’angle
DT-DICT,
grâce à 5
questions
simples
disponibles
via une
application
dédiée. Il
s’agit d’une
action
exclusivement
pédagogique
dont
l’objectif
premier est
d’instaurer
un dialogue
constructif
entre les
différentes
parties
prenantes.
L’Observatoire
régional
ambitionne
de totaliser
près de 500
visites de
chantiers TP
à l’issue de
ces 5
semaines.
Par
conséquent,
afin de
faire de
cette 1ère
édition un
succès, la
mobilisation
de tous est
essentielle.
Nous
comptons
donc sur
votre
participation
à cet
évènement
majeur en
termes de
prévention,
prenez date
!
Inscrivez-vous
pour
participer :
cliquez ici.
Intertas
10.02.23 :
Les villes
des Sables
d’Olonne, de
La
Roche-Sur-Yon
ou de
Brive-la-Gaillarde
vont-elles
devoir
attendre
encore
longtemps
l’exécution
par Orange
des
obligations
qui
découlent
des appels à
manifestation
d’intention
d’investir (ndlr
: les Amii)
?
Mis en
demeure
d’exécuter
ses
engagements,
Orange
réagit par
un procès en
illégitimité
du
régulateur
des
télécommunications,
sous la
forme d’une
question
prioritaire
de
constitutionnalité.
Laure de la
Raudière,
présidente
de Arcep,
auditionnée,le
8 février au
Sénat, n’a
pas permis
de répondre
à cette
question qui
taraude les
collectivités
:
comment
sortir de
cette guerre
juridique.
Au paravant,
Jean-François
Longeot,
président de
la
commission
du
développement
durable du
Sénat, a
brossé le
bilan des
Amii.
Programmés
pour la fin
2020, leur
taux
d’exécution
atteint 87 %
à la fin
2022, et la
période
récente se
traduit par
un
ralentissement,
qui fait
planer sur
la
complétude
du réseau
fibre,
destiné à se
substituer
totalement
aux
télécommunications
par le
cuivre en
2030, dans
un contexte
de forte
disparité
territoriale.
Exemple : la
Dordogne,
L’Ardèche et
la Nièvre
dépendent
encore à
plus de 25 %
du cuivre.
Cela pose la
question du
maintien de
la qualité
du service
et de
l’entretien.
Cliquez-ici
pour
consulter la
vidéo sur
l'audition
au Senat de
Laure de
la Raudière.
Intertas
09.02.23 :
Le
syndicat
départemental
d'énergie de
Saône-et-Loire
(Sydesl),
qui assure
le service
public de
distribution
d'électricité
pour toutes
les communes
de Saône &
Loire depuis
1947,
va investir
20 millions
d'euros en
2023,
dans
l'amélioration
et la
modernisation
des réseaux
d'énergie.
Le
réseau
d'électrification
sera la
principale
dépense
prévisionnelle
du Sydesl,
représentant
un total de
14,083 millions
d'euros. Les
réseaux
d'éclairage
public
bénéficieront
quant à eux
d'une
enveloppe de
4,17 millions
d'euros. Les
autres
actions
concerneront
le réseau de
gaz,
l'enfouissement
des réseaux
de
télécommunication
et la
rénovation
énergétique
des
bâtiments.
En outre,
une douzaine
de bornes de
recharge
électriques
supplémentaires
vont être
lancées par
le Sydesl
cette année.
Elles
compléteront
les 46
bornes déjà
ouvertes par
le syndicat.
Parallèlement
à ce plan
d'investissement,
le Sydesl a
créé, en
décembre
2022, une
Société
d'économie
mixte (SEM)
pour
financer des
projets
d'énergies
renouvelables
(EnR), en
particulier
des parcs
photovoltaïques
au sol, pour
un montant
de 35
millions
d'euros.
Cliquez-ici
pour en
savoir plus
Intertas
08.02.23 :
L'Assemblée
générale
annuelle de
la
FNEDRE
s'est tenue
le 27
janvier 2023
à Ville de
Tours. Parmi
les points à
l'ordre du
jour, le
vote pour le
renouvellement
de la moitié
des membres
du Conseil
d'administration
(4 sur 8).
Trois des
quatre
administrateurs
sortants
étaient
candidats à
leur
succession
et ont été
réélus :
Loriane
Roussel,
Damien Skaky
et Benjamin
Barraud.
Jean-François
Maregiano,
qui ne
s'était pas
représenté à
la fin de
son mandat
en 2022, a
également
été élu. Le
Conseil
d'administration
s'est réuni
à l'issue de
l'Assemblée
générale et
a reconduit
le Bureau
sortant :
Présidente :
Loriane
Roussel,
Premier
Vice-Président
: Damien
Skaky,
Second
Vice-Président
: David
BONNIER,
Trésorier :
Benjamin
Barraud,
Secrétaire :
Jean
VERRIER.
Trois
administrateurs
complètent
le Conseil
d'administration
: Grégory
Bechet,
Cyril
Brossard et
Jean-Francois
Maregiano.
La FNEDRE
rassemble
les acteurs
de la
détection et
du
géoréférencement
des réseaux
enterrés.
Créée
en mars
2011, la
FNEDRE
réunit
majoritairement
des
entreprises
qui
réalisent
des
prestations
de
localisation
des réseaux
enterrés par
la mise en
œuvre
combinée des
techniques
de détection
et de
géoréférencement
(on parle
aussi de
détection
géoréférencée
des réseaux
ou encore de
géodétection).
Elle compte
aussi dans
ses rangs
des
fabricants
et/ou des
distributeurs
de matériels
liés à ces
métiers, des
établissements
et des
organismes
de formation
spécialisés
dans le
domaine de
la
réalisation
des travaux
réalisés à
proximité
des réseaux,
ainsi que
des maîtres
d’ouvrage et
des
exploitants
de réseaux.
Intertas
07.02.23 :
Merci à la
société ATEC
Réhabilitation
(Groupe
NABAB)
de
promouvoir
leurs
techniques
sans
tranchée et
de
faire naître
une vocation
à la
nouvelle
génération
des éléves
de la
section BTS
Travaux
Publics du
lycée
Freyssinet à
Saint-Brieuc
(22).
Cette
rencontre a
été
organisée par
Pierre
Paillardon
le
Directeur,
Mathieu
Coupeau
conducteur
de travaux
de la
société ATEC
Réhabilitation
()
et
David
THEISEN
du lycée
Freyssinet.
Après une
présentation
en vidéo,
les élèves
se sont
rendus sur
le chantier
de
Saint-Brieuc
Armor
Agglomération.
Cette
rencontre a
permis des
échanges
constructifs
et
enrichissants.
Fondée en
2011 par le
Groupe
NABAB,
la société
ATEC est
spécialisée
dans la
réhabilitation
de
canalisations
sans
tranchée.
Constituée
d’experts
techniques,
elle met
plus de 10
ans
d’expérience
au service
des
collectivités
et des
entreprises
pour la
remise en
état de
réseaux
d’assainissement
via une
technique de
chemisage
polymérisé.
Chaque
année,
environ 100
kilomètres
de
collecteurs,
branchements,
regards et
ouvrages
visitables,
sont
réhabilités.
Pour en
savoir plus
cliquez-ici
Intertas
06.02.23 :
En Sarthe,
GRDF
souhaite
passer de 4%
de gaz vert
qui circule
actuellement
dans le
réseau
(soit
l’équivalent
de 9 000
foyers
chauffés au
gaz
annuellement)
à 15% en
2025 et 30%
en 2030.
La part de
«gaz vert»
dans le
réseau de
gaz de la
Sarthe est
encore
embryonnaire
mais est
amenée à se
développer
dans les
prochaines
années.
Pour cela,
le réseau de
distribution
de gaz mise
notamment
sur la
valorisation
des
biodéchets
par la méthanisation.Sept
sites de
méthanisation
sont d’ores
et déjà
raccordés au
réseau de
GRDF :
Saint-Paterne-Le
Chevain,
Marolles-Les-Braults,
Le Mans,
Tennie,
Loué,
Cérans-Foulletourte
et Allonnes.
Trois
autres sites
sont en
construction
et seront
mis en
service dans
le courant
de l’année
2023 :
ceux de
Rouessé-Fontaine,
de Tuffé et
un deuxième
à
Cérans-Foulletourte.
A terme, la
Sarthe
devrait
compter une
vingtaine de
sites de
méthanisation,
assure
Fabrice
Delareux,
responsable
Territoires
Nord Mayenne
et Sarthe
chez GRDF.
Comment leur
implantation
est-elle
décidée ?
Ce sont les
agriculteurs
qui portent
l’initiative
et «un
dialogue
citoyen doit
être mis en
place quand
le projet
émerge»,
souligne
Quentin de
Brémond
d’Ars, le directeur
territorial
Maine-et-Loire,
Mayenne et
Sarthe de
GRDF.
Le
compostage
est l’autre
levier
qu’entend
actionner
GRDF pour
doper la
production
de gaz
renouvelable.
Selon le
réseau de
distribution,
il y a un
potentiel
avec 30 000
tonnes de
biodéchets
collectés
chaque année
en Sarthe.
Intertas
06.02.23 :
Vous êtes en
charge dans
votre
commune ou
intercommunalité
de services
publics
touchant au
plus près la
vie de vos
administrés
:
les
nouveaux
guides de
l’élu de la
FNCCR sont
là pour vous
accompagner.
Ces services
publics en
réseaux sont
le plus
souvent
conduits à
l’échelon
intercommunal,
la
mutualisation
des moyens
autorisant
une
expertise
technique,
difficile à
mettre en
oeuvre à
l’échelle
d’une
commune
isolée, si
importante
soit-elle.
Il s’agit de
services
publics
essentiels à
la vie de
tous les
jours :
alimentation
en eau
potable et
assainissement,
accès à
l’électricité
et/ou au
gaz, chaleur
et froid,
gestion et
valorisation
des déchets,
téléphonie
et
communications
électroniques
en très haut
débit. Ces
services
publics sont
aussi des
outils
d’aménagement
du
territoire :
comme
l’électrification
hier, de nos
jours, le
très haut
débit
contribue au
dynamisme
économique,
à l’exercice
de services
publics sous
d’autres
formes
(visioconférence,
télémédecine,
e-éducation…)
mais aussi
au
désenclavement.
Cliquez-ici
pour lire la
suite et
télécharger
les guides
de l'élu.
Intertas
03.02.23 :
La
communauté
d’agglomération
de Mulhouse
a voté le
principe de
la
construction
pour 150
millions
d’euros d’un
nouveau
réseau de
chaleur de
50 km d’un
seul tenant,
pour un
objectif de
mise en
service en
2026, voire
dès la fin
2025.
Le projet
consiste à
utiliser la
chaleur
«fatale»
(excédentaire)
dégagée par
plusieurs
entreprises
fortement
consommatrices
d’énergie -
le fabricant
de verre
Euroglas, le
producteur
d’engrais
Borealis et
les
entreprises
de la
plateforme
chimique W
Europe -
pour
l’acheminer
dans le cœur
d’agglomération
du
centre-ville
de Mulhouse,
a exposé
Remy
Neumann,
vice-président
de M2A en
charge des
réseaux de
chaleur.
Ses
industriels
émetteurs
sont situés
près du
Rhin, en
périphérie
du
territoire
de la
communauté
d'agglomération,
ce qui
explique la
longueur des
conduites
qu'il faudra
construire :
30
kilomètres
pour le
transport
entre la
source et le
coeur
d'agglomération,
puis 20 km
au sein de
celui-ci,
Cette
capacité de
production
d'origine
industrielle
correspond
au besoin de
chauffage de
20 000
équivalents-logement,
ont précisé
les
services de
M2A.
Elle
pourrait
fournir
l'usine
automobile
locale de
Stellantis,
située sur
le parcours
du futur
réseau.
Cette
chaleur
fatale est
une énergie
renouvelable,
qui se
substituera
au gaz.
Intertas
02.02.23 :
(communiqué)
Arkema a
signé un
accord à
long terme
avec ENGIE,
à compter du
1er janvier
2023, pour
la
fourniture
de 300 GWh/an
de
biométhane
renouvelable
en France.
Il s'agit de
l'un des
plus
importants
contrats
privés de
biométhane
en Europe à
ce jour.
Arkema est
fier d'être
déjà un
pionnier
dans les
matériaux
bio-sourcés
de haute
performance
dérivés de
graines de
ricin
renouvelables,
qui offrent
une
empreinte
carbone
considérablement
réduite par
rapport aux
matériaux
équivalents
d'origine
fossile. Ce
contrat de
fourniture
de 300 GWh/an
de
biométhane
renouvelable
avec ENGIE,
ainsi que
les projets
d'efficacité
énergétique
en cours,
permettront
à Arkema de
réduire
encore très
significativement
l'empreinte
carbone de
ses gammes
bio-sourcées
de haute
performance
de polyamide
11 Rilsan®
et
d’élastomères
Pebax® Rnew®.
Produit par
la
fermentation
de matières
organiques,
le
biométhane
est une
alternative
renouvelable
au gaz
naturel avec
une
empreinte
carbone plus
faible. La
matière
première du
biométhane
en France
est
particulièrement
respectueuse
de
l'environnement
avec plus de
95 %
provenant de
la
fermentation
de résidus
agricoles et
de déchets
organiques,
et n’entrant
pas en
concurrence
avec
l'alimentation.
Arkema
explore
également
les
opportunités
de
collaboration
avec ENGIE
et d'autres
acteurs
industriels
pour
soutenir
l'amélioration
continue de
la
production
de
biométhane
renouvelable
en France.
Cliquez-ici
pour lire le
communiqué
Intertas
31.01.23 :
(Communiqué) COVAGE
lève 156M€
pour
accélérer
son plan de
développement
pour
connecter
100% des
entreprises
à la fibre.
A fin 2023,
Covage aura
raccordé 40
nouvelles
métropoles à
la fibre,
renforçant
ainsi la
position du
Groupe en
tant que
3ème
opérateur
d’infrastructure
Télécom en
France.
Depuis son
rachat par le
Groupe Altitude
en septembre
2021, Covage
mène un plan
d’investissement
ambitieux afin
de couvrir
l’intégralité
des entreprises
du territoire
national en
fibre optique.
NORD/LB,
banque
allemande
déjà
partenaire
pour le
financement
d’infrastructures
FTTH du
Groupe
Altitude, a
mis en place
avec Covage
un crédit
moyen terme
et une ligne
de
liquidité,
pour un
montant
total de
156M€ en
s’engageant
sur la
totalité de
ce
financement.
Brice
Messier,
Directeur
Général de
Covage, a
déclaré : «
Je suis ravi
de ce
partenariat,
NORD/LB
s’associe à
notre
ambition de
déployer
vite un
réseau de
fibre
optique
adapté aux
besoins des
entreprises
sur
l’ensemble
du
territoire.
Nos équipes
sont prêtes
et
pleinement
engagées
pour réussir
cette
nouvelle
étape du
développement
de Covage. »
Heiko
Ludwig,
Global Head
Structured
Finance de
NORD/LB, a
déclaré : «
Pour
conclure
avec succès
une
transaction
comme Covage
en tant
qu'arrangeur
unique, il
faut
beaucoup de
compétences
en matière
de
structuration
et
d'exécution
et il faut
parfois
sortir des
sentiers
battus. En
tant que
partenaire
financier
des
activités
FttH
d'Altitude
au fil des
ans, nous
sommes fiers
d'avoir
contribué à
la
croissance
stratégique
du groupe
sur le
marché de
gros de la
fibre B2B. »
Intertas
31.01.23 : Les
Travaux
publics du
Blavet
(TPB),
groupe
familial
basé à
Pluméliau-Bieuzy
(56),
réalisent
une nouvelle
opération de
croissance
externe.
Trois
entreprises
rejoignent
le groupe
spécialisé
dans les TP
et les
réseaux :
RSB à
Quimperlé
(29), TPES à
Saint-Ségal
(29) et
Sorelum, à
Saint-Berthevin
en Mayenne.
L’objectif
est de se
préparer aux
évolutions
des métiers,
de conserver
le
savoir-faire
des équipes,
de renforcer
la place de
l’entreprise
sur le
marché et de
créer un
ensemble
attractif
pour les
jeunes
talents »,
précise le
groupe TPB,
dans un
communiqué,
qui comprend
déjà :
SBCEA (Pluméliau
(56) :
Construction
de réseaux
d’assainissement,
d’eau
potable et
de réseaux
de chaleur -
RESO (Baud
(56) :
Construction
de réseaux
de
distribution
basse et
haute
tension,
d’éclairage
public et de
génie civil
télécom -
Alba Telecom
(Baud (56) :
Tirage et
raccordement
de fibre
optique -
EPUR
OUEST :
Conception
et
réalisation
de stations
d’épuration
à filtres
plantés de
roseaux -
Pierre
Gérard (Montgermont
(35) :
Terrassement,
réseaux et
aménagements
extérieurs
Intertas
31.01.23 :
Alors que la
réduction
des
consommations
énergétiques
est une
priorité
pour les
collectivités,
agir sur
l'éclairage
public qui
est le
premier
poste de
dépense
d'une
commune, est
une option
incontournable.
La facture
d’électricité
est la
première
dépense
d’une
collectivité,
et
l’éclairage
public à lui
seul
représente
près de 40 %
des dépenses
totales
d’électricité
d’une
collectivité
en moyenne
(chiffres
avant la
crise de
2022), il y
a donc un
très gros
enjeu à agir
sur ce poste
de dépense
en constante
croissance.
C’est pour
cela qu’on
observe
aujourd’hui
une forte
augmentation
des
extinctions
nocturnes,
qui posent
d’autres
questions
telles que
la sécurité
qui est de
la
compétence
du maire.
Ces
extinctions
sont gérées
de manière à
avoir le
moins
d’impact sur
la vie
locale, et
les communes
qui
éteignent,
et qui sont
de plus en
plus
nombreuses,
ne
reviennent
en général
pas en
arrière.
Comment
prendre en
main ce
sujet au
niveau d'une
commune?
Comment
construire
une
stratégie?
Paul Verny,
Responsable
de la
mission
"éclairage,
maîtrise de
l'énergie et
des
nuisances
liées à la
lumière" au
Cerema,
présente
dans une
interview
les enjeux
et leviers
d'action.
Cliquez-ici
pour lire
l'interview